J’ai entendu la douce mélodie et j’ai tout de suite accroché au petit côté enfantin de « Tes lacets sont des fées« . C’était parti pour ne plus jamais lâcher Dionysos.
On pourrait penser que cette chanson là n’est pas la plus représentative du groupe, bien mieux connu grâce à son mythique riff de « Song for Jedi« . Pourtant elle mêle tout ce que j’aime chez eux : la poésie, la gaieté, l’énergie… et le rock
L’album « Monsters in love » a donc rapidement gagné mon cœur, envahie que j’étais par cet univers magnifiquement magique.
Il faut se laisser porter, on pénètre leur monde petit à petit, chanson par chanson, histoire par histoire et on comprend bien vite combien tout cela est juste et cohérent.
Dionysos fait partie de mes piliers, de ceux que je ne lâche jamais, guettant la moindre nouvelle production de la part du groupe. Malgré tout, je suis passée au travers de l’épreuve surmontée par Mathias. Pudeur oblige, il n’a rien laissé entrevoir mais au final, une résilience parmi les plus belles que je n’ai jamais vue, lue et écoutée.
2016 : nouvel album qui tourne en boucle, nouveau livre lu en moins de 2 heures, le rituel est maintenant bien rodé. J’y succombe une fois de plus, avec le plus grand des plaisirs.
Osez passer la porte des préjugés, Dionysos ça vaut le coup d’être lu et écouté, pour peu que l’on ait envie de partager de belles choses.
Un récit très poignant mais bourré d’optimisme et de délicatesse aussi et toujours cette poésie renversante.
Qu’il me tarde de les revoir sur scène !! D’ici là, je ne peux que vous conseiller d’aller faire un tour dans leur monde.